ta bougie tu là démonte juste après une grosse pointe en coupant la brêle rapido sans là faire décélérer trop lentement et là faire tourner au ralentis?!
la position d'aiguille joue beaucoup sur le comportement du moteur; tu ne peux pas ouvrir les gaz à fond...lis ceci:
http://www.crazymoto.net/index.php?showtopic=81228
Le lien proposé par MIKA est précis, mais il ne concerne que les "vrais" bons carburateurs, ceux qui sont réellement réglables.
Pour la couleur de la bougie, il faut encore une fois bien préciser la méthode. J'ai appris ça durant mes années de compétition moto, du 50 à la 750, comme pilote ou comme mécano, en régional ou en Grand-Prix...
Procédure de mesure de la couleur (la seule réellement "lisible" ),parfois connue sous le nom de protocole :
- faire chauffer le moteur à température de fonctionnement, en évitant bas régimes et sur-régimes
- rouler à 3/4 des gaz pendant au moins 2 km
- parcourir au run de 4 à 500 mètres gaz grands ouverts, et, important, en partant déjà lancé depuis au moins une distance équivalente
- dans la même opération : couper le contact d'allumage gaz toujours ouverts et débrayer
le moteur qui ne doit absolument plus tourner, même gaz coupés- rentrer
en poussant et ensuite lire la bougie...
Bien entendu, le marqueur de la bougie était le plomb contenu dans l'essence ! Plus de plomb = lecture souvent illisible ou très difficile à interpréter.
Sur une mob à embrayage automatique il est aussi impossible de débrayer que de couper le contact qui est remplacé par un décompresseur, donc on coupe les gaz, ce qui annule toute possibilité de lire, d'autant que l'allumage se fait toujours et continue à colorer la bougie avec un mélange air-essence fluctuant avec l'ouverture des gaz et le régime.
Et, tout fonctionnement au ralenti noircit la bougie, ce qui fait qu'on ne peut pas non plus interpréter la couleur qui est totalement faussée.
Alors, quand vous vous basez sur la couleur de la bougie pour choisir votre gicleur, tenez compte de ces remarques...